Parce qu’on ne peut pas s’épanouir si on passe son temps à se juger.
En art-thérapie, il n’y a pas de “raté” : chaque trait, chaque mot, chaque collage devient une preuve qu’on ose.
C’est cette expérience répétée — oser sans se juger — qui reprogramme peu à peu notre façon de nous percevoir.
Les neurosciences montrent que la création stimule les zones du cerveau liées à la motivation et à l’apprentissage positif. En clair : plus on crée, plus on entraîne son cerveau à croire qu’il est capable.
Résultats concrets dans la vie quotidienne :
Plus d’estime de soi : on se parle avec plus de douceur, moins de critique.
Plus d’assurance dans les choix : on ose dire non, demander, essayer.
Moins de comparaison : on avance à son rythme, avec confiance.
Plus de stabilité émotionnelle : les montagnes russes intérieures s’apaisent.
Un sentiment de légitimité retrouvé : “je peux y arriver, à ma manière.”
Et au fil du temps :
Les enfants gagnent en autonomie et fierté (ils montrent leurs créations avec joie et confiance).
Les ados changent leur regard sur eux-mêmes (ils se sentent “assez bien” comme ils sont, moins de dévalorisation).
Les adultes se réconcilient avec leur image et leur parcours (ils arrêtent de se flageller et se donnent le droit d’être en évolution).
👉 En bref : la confiance, ça se cultive, un geste à la fois. Et chaque page du journal créatif devient une preuve qu’on avance, pas à pas, vers une version plus alignée de soi.
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